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Erog

Vendredi 26 août 5 26 /08 /Août 13:06

J'aime la convivialité et pas la vulgarité pour dire, nous pouvons être nées homme et d'être obligé vivre en homme pour des raisons X et L ce qui et un peu mon qu'à. Depuis ma plus tendre enfance j'ai un besoin, de me féminiser et de revêtir des jolies dessous qui me vont à ravir et pour temps j'ai été mariée avec une belle femme, qui m'a donné un très beau garçon. La vie et là, le divorce est arrivé, elle ne supportait plus mon besoin des êtres une femme. Oui j'aime les hommes, voir plus que les femmes, j'aime me blottir dans des bras viril d'un homme d'où et câlin et fait tout pour lui donner du plaisir.

J'ai un rêve

Je crois que c'est une chimère qui et de refaire m'a vie avec un homme. Que peut m'aimer comme je suis

Hélasse, ce n'aie que une hérésie. Le grand amour et pour les autres et non pour moi comme je suppose.

J'aime mon coter androgyne que je voudrais bien développer plus ; mes pas avec un bistouris

J'ai un caractère bien trempée je ne suis pas soumise, dominatrice et n'y, une salope couche toi là et té-toi.

Je préfère avoir une relation avec un homme que plusieurs partenaires pour dire je privilégie la qualité à la quantité.

Pour finir je suis en recherche du grand amour !

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Mardi 23 août 2 23 /08 /Août 14:06

01

S'étaie un de c'est beaux petit-matin d'été qui était très prometteur. Pour dire elle annonçait une très belle journée et surtout d'être vraiment plus belle que la veille. Il faut dire que la veille il avait fait un temps de cochon. Comme tous les matins à cinq heures du petit-matin, ma toutou-ne ; elle avait une envie de faire c'est petit besoin dehors. J'ai jeté un regard par la fenêtre avant de sortir ma belle toutou-ne. L'orage venais finir et le revêtement du sole était recouverte d'un, très jolie miroite, avec de belles petites flaques d'eaux. Pour sortir en peignoir et mule au pied il n'était pas questions Oui je dé-tests franchement d'avoir les petons tremper. Dans ma buanderie j'ai pris un manteau de pluie trois-quarts à capuche de couleur rouge et des escarpins rouges à tallons carrée de cinq centimètres, je n'étais pas sexy je ressemblais plus au petit chaperon rouge.

J'étais train de me promener sur le parking avec ma petite toutou-ne, elle est toute noire et je fredonnais une chanson d'une célèbre chanteuse française. Pour information le titre de la chanson et la couleur de mais, vêtement et la couleur de ma toutou-ne. J'ai aperçu mon beau étalon qui arrivait au Galop il était fou de joie à côté de moi. Je nets eu le temps de dire ouf ! Que s'est bras viril mon entrelacée et non somme partir dans ronde infernale avec une de s'est baiser qui et très dur doublier dans sa vie. La j'étais ou ange, les jambes relevées sur mes fesses, est heureuse folle de joie d'être dans les bras de mon homme.

Quand il m'a dit que sa femme partait en vacances avec les enfants ce petit-matin dans sa belle famille. Là je me dis s'est vraiment belle journée ce qui m'a rendus toute folle de joie surtout quand il m'a passé les clés de chez lui. Pour que je monte mes quelques petites affaires chez lui je devais être sa petite femme pour les vacances. J'étais ho ange et folle de joie .

Tout excitée comme une puce ; il m'a pas eu le temps de dire ouf ! Que je suis montée dans sa voiture à la place de la folle et que j'avais déjà sorti de son froc son magnifique service-trois-pièces. Son beau étendard n'a pas mis longtemps pour ce m'être au beau fixe. Sous mais, massage que j'ai pratiqué avec beaucoup d'affections et de tendres surtout quand je les mise au chaud dans ma bouche et avec langue je lui fessais des câlins de tendres. Pour dire il m'a rempli m'as bouche de son nectar qui est un très bon sirop ; j'avais hue le droit d'une triple dose ma bouche était remplie de ce nectar d'homme qui dégouline de m'est lèvre sur mon visage. Il était tous heureux, d'avoir été soulagé en contemplent son oeuvre. Et moi avec un air très espiègle et mon petit doigt, je frottais mon visage pour retirer ce nectar qui avait dégouliné de ma bouche et je porte mon à ma bouche en savourent ce bon nectar d'homme et nous nous sommes, donné un long baisé langoureux d'amours, avant de le quitter.

Il me rappelle et là, il me dit j'ai oublié de te dire quelque chose. Je me retourne et je nais pas eu le temps de dire ouf ! Que je me suis retrouvée allonger sur le capot de sa voiture et qu'il m'a relevées les jambes. Mon beau étalon il m'a écarté la ficelle de mon string sur la fesse gauche que la ficelle sa tête entre les jambes en trains de me faire une rose d'amour et mon petit minou s'ouvrait sous le massage de sa langue et elle me pénétrait j'étaie monté au ciel sur ce capot de voiture toute chaude avec ce le ronronnement de moteur de la voiture et les petites vibrations du moteur ce qui me fessait montée mon excitation de tous mon corps. Je suis montée au ciel quand il m'a pénétré avec son énorme cigare ; j'ai éclaté d'une jouissant que je ne pouvais retenir mais, crie de plaisir plusse qui me pitonnait à coute de butoir ma jouissant et tellement forte, qu'on devait m'entendre à cent mètres à là ronde. Plusse que je criais de plaisir plus je lui fesait monter sonexcité ; il me limait ma chatte de plus en plus fort.

Quand il s'est vidée dans mon petit minou nous avons eu une jouissant de plaisir mutuelle pour dire il nous a fallu un bout de tempe pour reprendre nos esprits, il était tombé sur moi, à me couper le souffle. Son cigare fondais en moi et je chérais les fesses pour le garder en moi hélasse il avait tous donné il devenait tous mou ; je ne pouvais le garder au chaud dans mon minou.

Nous sommes retournés, mon envie revenait de son officié je les prise dans la bouche pour lui redonner de la vigueur hélasse tous mes efforts ; été viens, j'eusse pu lui redonner de la vigueur. Il avait plus d'une heure de retarde pour aller à son travail. Mais il était heureux et de bonne humeur pour sa journée .

Avant de partir il me dit pour ce soir tu peux préparer un petit repas pour mais, amie comme tu vas être la maitresse de maison. Je ne pouvais lui refuser rien donc je dis oui là il me donnas un peu d'argents pour faire quelques cours pour le repas de ce soir.mois

De retour chez moi.

Je suis allée prendre ma douche j'étais toute poisseuse mes jambes étaies toute recouverte de ce bon nectar ; j'avais eu des petits de matières organiques mélanger à ce bon nectar, qui avait ruisseler sur les jambes ; pour dire que j'avais eu de petit perds de mon minou ; qui avait subis les assauts de plaisirs de mon beau étalon. Il faut dire que j'aime avoir mais, fesses toute ouverte et d'avoir la sensation que ce beau étalon et toujours en moi ce qui est très agréable âpre un rapport sexuel, sept petites jouissances. Sous la douche je me suis bien lavée surtout mon petit minous ce petit jet d'eaux doux et agréable qui me caressait mon minou. Et j'ai écartes avec mes doigts pour que le petit jet d'eaux nettoyasse au plusse en profondeur mon minou. Il me restait que une petit-épilation des poiles disgracieuses à la crème épilatoire.

Ma toilette finie j'ai mis une culotte verte en velours sur les fesses et devant une ravissante dentelle toute, fleuri. Et puis une petite protection périodique pour éviter d'avoir de petite perds de m'a rose d'amour. Et puis un collent qui donne un effet bronzer sur mes belles jambes fraîchement épilée et puis mon jean naf-naf qui m'est les jambes en valeur et une chemise rose ce qui me donne un petit look androgyne et une paire boots.

Au marché, j'ai fait mon petit tour pour repérer les bonnes affaires à faire et voir que vais pouvoir préparer pour le repas du soir. J'ai repairé un boucher qui avait de belle épaule d'agneaux de pré-salé que je pourrais la faire rouler avec une fricassée de cèpes et de girolle et bien sûr aromatisée avec des herbes fines, que vais prendre chez l'herbier, du marcher. Il avait uns primeur, que j'avais repérée de belle tomate de champ et des haricots verts. À un autre, primeur j'ai pris des pommes de terre ; que je raffole, qui sont Charlotte que j'ai bien préparé à la salardaises. Pour plats résistance j'ai fine il me restait l'entrée et le desserre et bien sûr le fromage. Pour une entrée une bonne salade verte avec de gésiers confis chaud, ce que et très bon. Donc j'ai choisi une salade verte feuille de chêne et une botte de cressons pour donner un petit goût d'acidités à la salade. À un autre qui est un producteur de fruit. Où je prenais pratiquement toujours mais, fruits ; il connaissait très bien pour dure que je suis énormément difficile sur les fruits. Là il me dit bonjour ma belle j'ai de bonnes fraises, que j'ai récolté ce- matin tu vas voir, ils sont délicieuse ils n'ont rien à voir avec les autres que vous achetez au super-marcher qui sont ramassés vert et qui n'ont pas vue un brin de soleil pour dire. Je peux en goutté une, bien sûr ma belle et là il me tendis une fraise, pour dire la fraise elle avait parfum qui embaume le nez qui met vraiment en appétit pour dire elle qui aiguise les papilles de son bon parfum et je ne parle pas du goût en bouche. Je finissais le marcher par le fromager pour le plateau de fromage des régions de France et l'épicerie pour finir mon marcher.

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Mardi 23 août 2 23 /08 /Août 14:06


S'étaie un de c'est beaux petit-matin d'été qui était très prometteur. Pour dire elle annonçait une très belle journée et surtout d'être vraiment plus belle que la veille. Il faut dire que la veille il avait fait un temps de cochon. Comme tous les matins à cinq heures du petit-matin, ma toutou-ne ; elle avait une envie de faire c'est petit besoin dehors. J'ai jeté un regard par la fenêtre avant de sortir ma belle toutou-ne. L'orage venais finir et le revêtement du sole était recouverte d'un, très jolie miroite, avec de belles petites flaques d'eaux. Pour sortir en peignoir et mule au pied il n'était pas questions Oui je dé-tests franchement d'avoir les petons tremper. Dans ma buanderie j'ai pris un manteau de pluie trois-quarts à capuche de couleur rouge et des escarpins rouges à tallons carrée de cinq centimètres, je n'étais pas sexy je ressemblais plus au petit chaperon rouge.

J'étais train de me promener sur le parking avec ma petite toutou-ne, elle est toute noire et je fredonnais une chanson d'une célèbre chanteuse française. Pour information le titre de la chanson et la couleur de mais, vêtement et la couleur de ma toutou-ne. J'ai aperçu mon beau étalon qui arrivait au Galop il était fou de joie à côté de moi. Je nets eu le temps de dire ouf ! Que s'est bras viril mon entrelacée et non somme partir dans ronde infernale avec une de s'est baiser qui et très dur doublier dans sa vie. La j'étais ou ange, les jambes relevées sur mes fesses, est heureuse folle de joie d'être dans les bras de mon homme.

Quand il m'a dit que sa femme partait en vacances avec les enfants ce petit-matin dans sa belle famille. Là je me dis s'est vraiment belle journée ce qui m'a rendus toute folle de joie surtout quand il m'a passé les clés de chez lui. Pour que je monte mes quelques petites affaires chez lui je devais être sa petite femme pour les vacances. J'étais ho ange et folle de joie .

Tout excitée comme une puce ; il m'a pas eu le temps de dire ouf ! Que je suis montée dans sa voiture à la place de la folle et que j'avais déjà sorti de son froc son magnifique service-trois-pièces. Son beau étendard n'a pas mis longtemps pour ce m'être au beau fixe. Sous mais, massage que j'ai pratiqué avec beaucoup d'affections et de tendres surtout quand je les mise au chaud dans ma bouche et avec langue je lui fessais des câlins de tendres. Pour dire il m'a rempli m'as bouche de son nectar qui est un très bon sirop ; j'avais hue le droit d'une triple dose ma bouche était remplie de ce nectar d'homme qui dégouline de m'est lèvre sur mon visage. Il était tous heureux, d'avoir été soulagé en contemplent son oeuvre. Et moi avec un air très espiègle et mon petit doigt, je frottais mon visage pour retirer ce nectar qui avait dégouliné de ma bouche et je porte mon à ma bouche en savourent ce bon nectar d'homme et nous nous sommes, donné un long baisé langoureux d'amours, avant de le quitter.

Il me rappelle et là, il me dit j'ai oublié de te dire quelque chose. Je me retourne et je nais pas eu le temps de dire ouf ! Que je me suis retrouvée allonger sur le capot de sa voiture et qu'il m'a relevées les jambes. Mon beau étalon il m'a écarté la ficelle de mon string sur la fesse gauche que la ficelle sa tête entre les jambes en trains de me faire une rose d'amour et mon petit minou s'ouvrait sous le massage de sa langue et elle me pénétrait j'étaie monté au ciel sur ce capot de voiture toute chaude avec ce le ronronnement de moteur de la voiture et les petites vibrations du moteur ce qui me fessait montée mon excitation de tous mon corps. Je suis montée au ciel quand il m'a pénétré avec son énorme cigare ; j'ai éclaté d'une jouissant que je ne pouvais retenir mais, crie de plaisir plusse qui me pitonnait à coute de butoir ma jouissant et tellement forte, qu'on devait m'entendre à cent mètres à là ronde. Plusse que je criais de plaisir plus je lui fesait monter sonexcité ; il me limait ma chatte de plus en plus fort.

Quand il s'est vidée dans mon petit minou nous avons eu une jouissant de plaisir mutuelle pour dire il nous a fallu un bout de tempe pour reprendre nos esprits, il était tombé sur moi, à me couper le souffle. Son cigare fondais en moi et je chérais les fesses pour le garder en moi hélasse il avait tous donné il devenait tous mou ; je ne pouvais le garder au chaud dans mon minou.

Nous sommes retournés, mon envie revenait de son officié je les prise dans la bouche pour lui redonner de la vigueur hélasse tous mes efforts ; été viens, j'eusse pu lui redonner de la vigueur. Il avait plus d'une heure de retarde pour aller à son travail. Mais il était heureux et de bonne humeur pour sa journée .

Avant de partir il me dit pour ce soir tu peux préparer un petit repas pour mais, amie comme tu vas être la maitresse de maison. Je ne pouvais lui refuser rien donc je dis oui là il me donnas un peu d'argents pour faire quelques cours pour le repas de ce soir.

De retour chez moi.

Je suis allée prendre ma douche j'étais toute poisseuse mes jambes étaies toute recouverte de ce bon nectar ; j'avais eu des petits de matières organiques mélanger à ce bon nectar, qui avait ruisseler sur les jambes ; pour dire que j'avais eu de petit perds de mon minou ; qui avait subis les assauts de plaisirs de mon beau étalon. Il faut dire que j'aime avoir mais, fesses toute ouverte et d'avoir la sensation que ce beau étalon et toujours en moi ce qui est très agréable âpre un rapport sexuel, sept petites jouissances. Sous la douche je me suis bien lavée surtout mon petit minous ce petit jet d'eaux doux et agréable qui me caressait mon minou. Et j'ai écartes avec mes doigts pour que le petit jet d'eaux nettoyasse au plusse en profondeur mon minou. Il me restait que une petit-épilation des poiles disgracieuses à la crème épilatoire.

Ma toilette finie j'ai mis une culotte verte en velours sur les fesses et devant une ravissante dentelle toute, fleuri. Et puis une petite protection périodique pour éviter d'avoir de petite perds de m'a rose d'amour. Et puis un collent qui donne un effet bronzer sur mes belles jambes fraîchement épilée et puis mon jean naf-naf qui m'est les jambes en valeur et une chemise rose ce qui me donne un petit look androgyne et une paire boots.

Au marché, j'ai fait mon petit tour pour repérer les bonnes affaires à faire et voir que vais pouvoir préparer pour le repas du soir. J'ai repairé un boucher qui avait de belle épaule d'agneaux de pré-salé que je pourrais la faire rouler avec une fricassée de cèpes et de girolle et bien sûr aromatisée avec des herbes fines, que vais prendre chez l'herbier, du marcher. Il avait uns primeur, que j'avais repérée de belle tomate de champ et des haricots verts. À un autre, primeur j'ai pris des pommes de terre ; que je raffole, qui sont Charlotte que j'ai bien préparé à la salardaises. Pour plats résistance j'ai fine il me restait l'entrée et le desserre et bien sûr le fromage. Pour une entrée une bonne salade verte avec de gésiers confis chaud, ce que et très bon. Donc j'ai choisi une salade verte feuille de chêne et une botte de cressons pour donner un petit goût d'acidités à la salade. À un autre qui est un producteur de fruit. Où je prenais pratiquement toujours mais, fruits ; il connaissait très bien pour dure que je suis énormément difficile sur les fruits. Là il me dit bonjour ma belle j'ai de bonnes fraises, que j'ai récolté ce- matin tu vas voir, ils sont délicieuse ils n'ont rien à voir avec les autres que vous achetez au super-marcher qui sont ramassés vert et qui n'ont pas vue un brin de soleil pour dire. Je peux en goutté une, bien sûr ma belle et là il me tendis une fraise, pour dire la fraise elle avait parfum qui embaume le nez qui met vraiment en appétit pour dire elle qui aiguise les papilles de son bon parfum et je ne parle pas du goût en bouche. Je finissais le marcher par le fromager pour le plateau de fromage des régions de France et l'épicerie pour finir mon marcher.

 

De retour chez mon homme.

Il était déjà onze heures ; il m'a-tendais avec un bouquet de fleur, ce qui m'a fait très plaisir et surtout le petit baisé que nous avons échangé de remerciement et d'amour. Et là il me débarrassas de mon sac de couse ; et dit tu vas trouver des vase dans le buffet dans le salon. J'ai choisi un vase en porcelaine d'une belle couleur, d'un bleu Rembrandt ; il faut dire que sept couleurs et une de mais préférée. Il était très joli et sobre ornée du bore d'un ornement en bambou de couleur naturelle.

Quand je les rejoindre dans la cuisine pour arranger mon bouquet de fleur dans le vase il rangeait les cours. Il me dit on va ce régaler ce soir tu vas nous faire quoi ? Pour ce soir ma biche avec tout ce que tu achetés oh marché. Tu verras bien mon amour ! Une sur prise hum ! Que je lui dis, en me retournent avec un grand sourire espiègle. Là je me suis mise à arranger mon bouquet de fleur dans ce joli vas.

Il m'a enlacer la taille avec s'est bras vigoureux, ce qui à émoustillé pour dire. Je frottais mais, fesses d'une petite rotation d'un roulement déhanchement sur sa partie intime, ce qui lui a provoqué une belle érection je cambrais mon fessier comme une chienne en chaleur. Il n'a pas mis longtemps pour m'ôter mon jean ; qui s'est retrouvée sur mais, cheville. Si qui mise dans positions incongrue avec mon jean sur les chevilles je ne pouvais écarter les jambes comme mes jambes étant menottée au cheville par mon jean. Sa main avec une très grande délicatesse pénétrais ma culotte, pour dire il est allé directement à ma rose d'amour. Ho ! chérie je vois que tu mets des protections pourquoi ? Tu n'as pas té ours par-hasard, non mon coeur je préfère métré une petite protection après un rapport sexuelle, surtout comme ce matin tu m'as comblé. J'avais à peine dit comblé que je me suis retrouvée allonger sur la pierre de l'évier les jambes relevées là il m'a ôté la culotte et mon collant.

J'avais les cuisses écarter et la tête de mon homme entre mes cuisses ; il se régalait de mon petit clito qui se raidissait tout doucement avec une petite vigueur sous les bons soins qui me prodiguaient avec sa bouche. Mais, je criais de joie mêler un peu de douleur avec une de cette main, qui me pénétrait ma petite chatte anale. Je ne voulais pas de sa main dans ma rose d'amour mais, il avait déjà mis quatre doigts et il me pistonnait avec sa main mon minou par de petits allers retour. Quand la main de mon homme fini par entrée dans ma chatte ce que j'ai eu une douleur qui a fini par une jouissance pour dire de plaisir. Il m'avait fait avoir une jouissance qui-étais tel-ment forte que mon clito a finie par cracher toute la purée dans sa bouche, ce qui a peu apprécié. Il faut dire que s'est homme comme je les aime viril d'où et très câlin et macho voir un peu bourrue, mais derrière sa carapace il est tendre et fragile.

Là il m'a fait très peur ! Il est devenu bourrue voir vulgaire. Il m'a' recrachée toute ma semence ô visage et là j'ai eu très peur surtout quand il dit avec une très grande violence tu n'as ? Pas ont de cracher ta semence dans ma bouche, Chienne ; tu aimes bouffer ton propre jus de salope. J'étais toute fébrile ; il faut dire que je suis une petite poupée de porcelaine dans c'est bras, comme dans le film de King Kong ce qui peut résumer la situation que je me retrouvais.

Mon chéri je préfère ton jus il est bien meilleur que le mien. Mon coeur finissais de battre la chamade. Il s'était retiré pour prendre une photo de son oeuvre, il était heureux de prendre des photos de moi sur sa pierre d'évier ; hélasse les images j'ai dû les mettre ô rebuts. J'étais entrain, de reprendre mes esprits, ma peur c'était estompé, surtout à la vue de la bosse dans son pantalon non excitation est revenue ô grand galop pour dire que je nais pas mise longtemps à libérer de sa prison trop petite non beau amiral qui se dressait devant moi il était raide comme une baramine et bien gonflée de son jus à voir à éclater pour dire. J'étais comme folle à là vue de non beau amiral que ce dressais devant moi, je n'aie pas mise longtemps à le savourer avec ma langue avec de petits léchaient avec amour et une grande. Sous les bons soins que je les prodiguais il m'a craché sons bon nectar tout blanc d'une pureté divine. Il m'avait maculée le visage de son bon nectar qui finissait ruisselais sur mes vêtements de ce parfum d'homme d'où et agréable qui inonde mais, narine de cette odeur douce de ce parfum d'homme. Mais, j'avais envie plus, bien sûr de sa belle de sa belle queue qui me donnait très envie, donc je les portée à ma bouche ; son bon sucre d'orge, qui avait repris toute sa vigueur, pour dire il s'est mise au garda-vous en moindre de trente secondes pour dire. Il n'a pas ni longtemps pour me retourner comme une crêpe sur la pierre de l'évier. Dans sept positions, j'étais à sa mercis, les fesses retroussée et mais, jambes écartés et la tête était plongée dans le bac de l'évier. Il n'a pas m'y longtemps à me mettre sons sabre dans ma chatte, il m'a pénétré d'un grand coup, il n'avait pas pris de ménagement avec ma chatte. Suis à là séance de travail qui avait pratiqué à ma rose d'amour j'étais très ouverte pour dire je venais d'accoucher d'un très beau calibre que je ne croyais que je ne pouvais prendre de si gros calibre. Il me limait et culbutais à grand coup de butoirs d'aller retour ; jans criaient de joie disais pour dire il me baisait comme un dieu.



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